Une journée pour célébrer l'enfance !

Publié le 17 novembre 2022

Afin de célébrer la Journée internationale des droits de l'enfant, stands d'information, animations et activités gratuites se sont installés au parc Georges-Brunelet, ce mercredi pédagogique, à l’initiative de la ville ! Ou comment apprendre à connaître ses droits, tout en s'amusant ! 

De la joie, des jeux, des rires, mais aussi des sujets sérieux ! La journée internationale des droits de l'enfant a été fêtée ce mercredi 16 novembre, à Nouméa. Car être un enfant, c'est aussi avoir des droits, ratifiés par la CIDE (Convention Internationale des Droits de l’Enfant) : le droit de jouer, de rêver, de rire, le droit à l’éducation, à l’identité et à la santé, mais aussi à l’égalité, à l’inclusion…

Des droits qu'il faut protéger et que la ville, accompagnée de ses partenaires associatifs et institutionnels, s'attache à faire connaître lors de cette journée organisée chaque année ! 

Ouverte à tous les jeunes Nouméens de 0 à 18 ans et à leurs parents, grands-parents, accompagnateurs ou acteurs professionnels du domaine, cette journée gratuite et ludique, faite de rencontres, de partage, et d’ateliers découverte et créatifs accompagne les enfants à devenir nos citoyens de demain.

Solidarité et ouverture sur le monde

Et pour la première fois, cette journée s'est clôturée par la diffusion, sur écran géant en plein air, d'un film.  L'histoire de Wadjda, une jeune fille de douze ans qui habite dans une banlieue de Riyad, capitale de l’Arabie Saoudite. Dans un milieu conservateur, elle porte jeans et baskets, écoute du rock et ne rêve que d’une chose : s’acheter le beau vélo vert qui lui permettra de faire la course avec son ami Abdallah. Mais au royaume wahhabite, les bicyclettes sont réservées aux hommes car elles constituent une menace pour la vertu des jeunes filles...

Cette journée était également placée sous le signe de la solidarité grâce au conseil municipal junior qui a organisé une collecte de dons remis, en présence du 1er adjoint au maire Jean-Pierre Delrieu, à l'association Saint-Vincent-de-Paul et au centre Les Manguiers.